Posted by Teresa Flisiuk Tuesday, February 18, 2014
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Global Fraud Shakeel Mahmood - Shakeel Ibne Ahmed Mahmood, a set on Flickr.
SHAKEEL MAHMOOD:I was watching TV and changing the channels and guess what happened? SPIDER MAN was going on and I started watching exactly at the same point where I stopped watching on that day. At last I could finish this movie watching. Thanks to Allah. He made it happen.
BLANKA:You are a stupid fool to thank God for stupid shit like this; you make me so unproud by these words when you have so many beautiful ones. Wow, "at last" you could finish it, do you know how stupid you sound?
Posted by Teresa Flisiuk Tuesday, January 07, 2014
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Requiem Aeternam dona eis, Domine
R. et lux perpetua luceat eis:
Requiescant in pace. R. Amen.
In brachiis Angelorum claret tua aeterna lux.
In the Memory of my Daughter, Blanka Teresa Flisiuk Peridot 1976 - 2007 murdered at LSU Hospital in New Orleans on June 25th, 2007.
Posted by Teresa Flisiuk Wednesday, June 22, 2011
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Editorial Department
215 Park Avenue South
New York, New York 10003
Dear Editor:
Let me introduce you to our book, "How Mama and Me Survived the Hurricane".
Naturally I encourage you to read it and hope you are moved by it. I also
want to convey how significant our story is, and how dedicated I am to it.
This book is absolutely based on a true story, our story, that I felt needed
to be written and now I propose needs to be read.
In it we sketch our memories of the long hours during, and many days and
weeks after our evacuation from New Orleans because of Hurricane Katrina. We
start with the tumultuous morning that the hurricane was headed our way,
winding our way through emotions, traffic and mishaps to an increasingly
intangible idea of safety. While it is no high drama of the cliffhanger
caliber, our escape was definitely a run-for-your-life-think-later affair.
Our flight offers another version of that day to millions who have been
haunted yet curious about the circumstances.
The collaboration between my daughter and myself on this project was a
healing as well as creative process. Getting our story out between ourselves
meant getting it out first: facing this disruption of life. The next step is
getting it out to others. This part of our lives is taken from a child's
point of view and a valuable tale for other children as well.
I took into consideration the age level of children that would be reading
our book. As a mother I consider a certain book age-appropriate if it
comfortably matches my daughter's reading level while challenging her
somewhat with questions that lead to discussion. This book does just that
for children who read on their own but is interesting enough to hold the
attention of younger children who are read to.
While our story cannot be pigeonholed, it contains many stories within it.
At face value, it is a natural disaster story. We confront our worst fears
while using that desperate energy for survival instead of defeat. Despite
our fear, my daughter and I use our instincts to overcome and reach
safety, so it reveals a story about triumph.
It is a story about being a mother, it is a story about being a child. Our
concern with our pets exposes a touching interaction with animals that
teaches universal love and responsibility. This poignant story about a vivid
human experience draws you in so you not only relate to it, but become
captivated by it.
I offer you our personal tale for your captivation as well. I offer you a
piece of our life that has not yet officially concluded. This story is only
the beginning in our inevitable attempt to convert pain and hardship into
healing. We appreciate you allowing us to share it with you.
Sincerely
Blanka and Sabbath Peridot
Note: I envisioned the book comprised of nine sections, therefore I have
divided the enclosed manuscript in that manner. My seven-year old daughter
and I will alternate illustrating sections.
2006
(excerpts)
Now me and my Mom walk our dog down the long dirt road in front of our new home. Sweetie loves it here, and since she is part Akita and has thick fur, she likes the cold weather in Maine better than the humid weather down South. She loves running ahead of me and my Mom as we walk naming the trees around us and saving caterpillars from the road. Sometimes we complain how cold it's been getting lately in Maine. But I don't mind because that means the snow is coming soon and I get to play in it. I could never do that in New Orleans. And besides, when we walked Sweetie down in New Orleans, we used to complain how hot and humid it was down there! [...]
Posted by Teresa Flisiuk Tuesday, October 12, 2010
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- Michal Flisiuk quitte le Maine ou il résidait au 1575 Rt.3, South China, Maine 04358,
- Michal Flisiuk arrive à New Orleans le mardi 27 octobre 2009.
- Les contacts de Michal Flisiuk avec sa famille par téléphone et e mails étaient espacés de façon inhabituelle et atypique.
- Michal Flisiuk devait livrer des toiles de son fils Marcel Flisiuk à la Barrister’s Gallery pour une exposition, ce qu'il a fait, et également à d'autres galeries où son fils est un artiste permanent, vendant son art depuis des années.
- Michal Flisiuk à New Orleans posta une video sur YouTube: “Notes d'un voyageur”
- Teresa Flisiuk, la femme de Michal Flisiuk a retiré la video de YouTube, après que cette video fut trouvée par la famille après la mort de Michal Flisiuk; la raison en était de prévenir une explication sociale à sa mort, au lieu d'une explication scientifique, clinique.
- En début d'après-midi, le 29 octobre 2009 la famille reçut un appel téléphonique; Marcel Flisiuk répondit, et d'abord hésita à répondre aux questions car la personne ne s'était pas identifiée. Et cette personne demanda des renseignements sur les objets appartenant à son père et son véhicule, sans mentionner son père, pas même un nom. C'était vraiment très étrange.
- Teresa Flisiuk prit la communication et demanda le nom de la personne au téléphone. C'était John Gagliano, l'enquêteur médical en chef ( qui n'est ni médecin, ni docteur d'aucune sorte ), travaillant pour le Coroner en charge ( élu ) Frank Minyard. Tous deux sont impliqués dans l'autopsie illégale de Blanka Teresa Flisiuk Peridot ( autopsie autorisée au L.S.U. Hospital par ses pathologistes, alors que cette mort à été enregistrée comme ' mort inexpliquée', par le Coroner, - conflit d'intérêt.)
- John Gagliano se conduisit lui-même d'une façon hostile, immorale ( irrité, grossier, contradictoire, inapproprié quand on s'adresse la l'épouse du défunt dans une telle tragédie ).
- John Gagliano, disant que le corps était “ carbonisé au delà de toute reconnaissance”, insista sur la positive identification de Michal Flisiuk, écarta l'homicide, et proposa comme cause de la mort: inhalation de fumées ( le jour de la mort ). “Comment savez vous que c'est lui?!”, [sic] “Parce qu'il a été vu là juste avant” – Enregistrements des contradictions de John Gagliano.
- John Gagliano informa aussi Teresa Flisiuk au sujet des papiers et de quelques possessions qui ont seulement été endommagés par l'eau, et se trouvait dans ' le séchoir de la police', Teresa Flisiuk demanda avec scepticisme: comment des papiers peuvent résister à une telle chaleur?, mais John Gagliano fût inébranlable sur ce sujet depuis le début. Voir les enregistrements transcrits.
- John Gagliano déclara que le département 'Homicide and Fire' enquêtait sur cette mort . Teresa Flisiuk appela le service de police 'Homicide' de New Orleans et fut informée par le Détective Hamilton que le cas était étudié par le Détective Ray Aucoin. Le Detective Ray Aucoin fut aimable et, à ce qu'il parut à ce moment, compréhensif. Marcel Flisiuk, le fils de Michal Flisiuk partit pour New Orleans, et le Detective Ray Aucoin promit: de rendre les papiers et les autres possessions à Marcel Flisiuk, et de le rencontrer pour l'emmener à la morgue pour identifier le corps, ainsi qu'il offrit son “support moral”.
- Marcel Flisiuk arriva à New Orleans le dimanche 1er novembre.
- L'ami de Michal Flisiuk et de Marcel Flisiuk, Tony Pontiff, l'officier de police, offrit d'aider Marcel et appela John Gagliano, qu'il connaissait. John Gagliano lui dit que nous avons 'tout ces sites web', que Michal Flisiuk harcelait et filmait les docteurs et les infirmières, et demanda ce qu'il faisait en ville: l'enquêteur médico-légal parlant de problèmes sociaux qui ne le concernait en rien! Michal Flisiuk était sous surveillance serrée et N'A PAS ETE ARRETE ENCONNECTION AVEC L.S.U. Et le MEURTRE DE BLANKA PERIDOT. Si Michal Flisiuk avait été arrêté, le cas aurait alimenté encore plus l'infâme publicité du meurtre de la fille de Michal Flisiuk! Écoutez sur l'enregistrement, comment ils l'ont vu juste avant qu'il meure “SOUS LEURS YEUX”! Michal Flisiuk était dangereux pour lui-même et les autres. Il voulait que sa voiture explose devant l'hôpital! Et les passants, et les malades de l'hôpital? Où sont les possessions et la caméra de Michal Flisuk, y compris son téléphone?
- Pour découvrir si John Gagliano couvrira le SUICIDE, Teresa Flisiuk, donna des appels téléphoniques, faisant comme si elle était stupide et concernée au sujet d'une cause de la mort “ défavorable”. Cela marcha, Voir ci-joint les retranscriptions d'enregistrements.
- Marcel Flisiuk apparut à l'émission de News 4WWLTV, et accomplit d'inutile tests ADN ( Michal Flisiuk fut malheureusement facilement identifié par la famille ). La copie originale de l'émission diffusée peut être envoyée.
- La famille dans le Maine réserva une Compagnie funéraire à Augusta, Maine, Knowlton Hewins Roberts sous condition que le corps sera transporté de New Orleans, et non incinéré dans cet État. Les arrangements funéraires ont été faits, payés, les fleurs commandées, les vêtements achetés et livrés à la Maison Funéraire, et le cercueil amené la maison de la famille, China, Maine pour deux jours de Veillée avant l'enterrement du 25 novembre 2009, au Cimetière Branch Mills où Blanka Peridot et son bébé, Clancy reposent, et où la famille possède deux concessions près d'eux. Le cercueil était dans la chambre de l'épouse. Tout les membres de la famille avaient des objets personnels à déposer dans le cercueil. ILS ont MENTIS ! Ils ont profané le Corps! Quand nous avons ouvert le cercueil, il y avait dedans un sac lourd et les vêtements étaient posés dessus. Les victimes du Tsunami ou de l'ouragan Katrina n'ont pas été placés dans de tels sacs! C'était un sac double. IL N'Y AVAIT AUCUN AVERTISSEMENT D'UN DANGER BIOLOGIQUE! Quand la famille ouvrit le sac, ce ne fut pas le corps qui causa un TRAUMATISME physique et moral ! Ce fut la massive émanation toxique causée par les produits chimiques qui couvraient le corps éviscéré! Le corps n'a jamais été autopsié de près. Le sac poubelle contenant les organes et les tissus était placé entre les jambes du décédé. Des ordures recouvraient le corps : gants de latex, linge taché. Les vêtements non brûlés et les chaussures de Michal Flisiuk étaient jetés là aussi. Le corps n'était pas “ brûlé au-delà d'identification”! L'horreur pure était une petite faveur de John Gagliano! Tout le monde dans la maison a été évacué. Tout le monde toussait et la veuve de Michal Flisiuk eut une sévère et dangereuse crise d 'asthme. Il n'y avait plus le temps de prendre les effets basiques! Le jour suivant, le cercueil alla à la Maison Funéraire. Les produits chimiques ont dissout tout sous forme liquide.
- Voilà pourquoi le corps a du être incinéré. Pour un prix de 350.00 dollars, une affaire… Le soir, deux membres de la famille, sont retournés avec des masques militaires, pour prendre des photos et des films.
- L'autopsie est un examen visuel et microscopique et une ENQUÊTE. Michal Flisiuk n'a pas eu d'examen du crâne pour vérifier la couleur du cerveau, un œdème, le poids, la forme. Le cerveau de Michal a été poussé à l'intérieur de sa gorge!!! Qui a payé pour s'amuser avec cette autopsie? John Gagliano en était chargé.
- Le CERTIFICAT DE DECES reçu en Février 2010: Cause de la mort indéterminée.
- Les papiers, les biens , n'ont jamais été rendus. La famille a eu une chaussure, et un flacon de parfum scellé.
- PREUVES
mvpaveley@gmail.com
By Blanka
Mother,
If You could see me now
Could You figure out how
My smile, my shape, my gait, my brow
Have all gone down
Did they drown?
Am I unhappy?
Or was I once
Experiencing an ounce
Of what they call
Gladness, joy, happiness, escape
These feelings I cannot drape
Over my shoulders
Like a gilded cape
Am I the image that life raped?
Am I the one left all alone?
Heart torn up, mouth agape
And if they get me
(Already did)
Can I escape
Can I get rid
Of them around me
The [...] inside me
Mother,
If you have to
Will you hide me?
Should you, though
I know I can’t
She shall walk in her own damned cant
Should I treasure, hide and gleam
Or teach and push and squeal and steam
Am I the mother or the daughter?
What lessons learned from
One or other?
Can I be one and not another?